(Dessin publié sur FB le 17 septembre)

Sud-Ouest, 15 septembre 2015 (1)…

Sud-Ouest, 15 septembre 2015 (2)…

Sud-Ouest, 16 septembre 2015 (1)…

Sud-Ouest, 16 septembre 2015 (2)…

BELIN-BÉLIET :
(pas de trace de programme sur le site de la mairie. Voici ce que j'ai retrouvé sur le dernier bulettin municipal)

C’est à un voyage dans le temps, rien de moins, que sont conviés les Belinétois le samedi 19 septembre ! À 14h30, un bus les attendra sur le parking de la mairie, direction : le patrimoine du 21ème siècle.
« Pour suivre ce thème des journées du patrimoine 2015, nous avons organisé une visite commentée de différents aménagements et réaménagements à Belin-Béliet » explique Nicole Barsacq, élue à l’animation, au sport, à la culture et au patrimoine.
« Les architectes mandatés par la mairie pour la rénovation de la RD 1010 viendront détailler leur projet et leur vision d’un nouveau centre bourg. Une présentation de la nouvelle bibliothèque et de la ludothèque est également programmée, ainsi qu’un retour sur le passé du Parc Kaufmann et Broad, qui n’était autrefois qu’une usine de palettes ».
La zone d’activités de la Règue, la déchèterie, la nouvelle station d’épuration de Béliet constitueront d’autres moments forts de ce voyage dans le temps. Les participants pourront constater à quel point la commune a évolué en quelques années.

SALLES :

VISITE DU MOULIN DE DUBERN // Mr DUFAURE
Départ à 9 h 00 – sur inscription préalable (groupe limité à 20)
Durée de la visite : 1 heure à 1.30 heures
Co-voiturage nécessaire jusqu’au Moulin de Dubern située à 3 km du Centre Ville de SALLES (Quartier Larrieu-Fourat)
Dernière minoterie en fonctionnement en Gironde. Ancien moulin à eau construit au XVème siècle et transformé en minoterie en 1930, rééquipée en 1989. 5ème génération d’une famille de meuniers.
 
VISITE DES GRES DE GASCOGNE  // Visite menée par Mme DUBOURG
Commune du BARP // Quartier Haureuils // 1 chemin de Pourtiche
Durée de la visite : 1 heure
Co-voiturage nécessaire jusqu’au Grès de Gascogne à 14 km de SALLES
Départ à 9 h 30 – sur inscription préalable (groupe limité à 20)
Fondés en 1949, les établissements Dubourg dits les Grès de Gascogne sont installés au cœur de la forêt près d’un gisement d’argile d’une finesse exceptionnelle qui existe depuis plus de 150 ans. Ils produisent des pavés et des carrelages en céramique mais aussi ce fameux pot dit «pot de Hugues» (dernière entreprise dans le Parc Régional des Landes de Gascogne). Découvrez lors d’une visite cette fabrique, les techniques, machines et le savoir-faire pour la fabrication des pavés et du pot Hugues. Marie France et Jacques sauront vous faire partager leur amour du métier et des traditions.
 
DE LA PALOMBIERE A LA GEMME // Visite menée par Guy DUPART
Départ à 10 h 00 – sur inscription préalable  (groupe limité à 15)
Durée de la visite : 2 heures
Co-voiturage nécessaire jusqu’à la Palombière située à 8 km de SALLES à l’entrée de BELIN-BELIET.

VISITE PATRIMONIALE DU BOURG DE SALLES // Visite menée par Jean-Jacques CLUZEAU
Départ à 14 h 30 – sur inscription préalable (groupe limité à 20)
Durée de la visite : 2.30 heures
Visite patrimoniale à pied.
Occupant dès les temps antiques une hauteur dominant la rive droite de la Leyre, le village présente de belles maisons du xixe siècle. La mairie est de cette même époque.
Au-delà du ruisseau de La Planquette, se dresse l’ancienne usine à gemme Deysieu, l’une des trois encore en activité au xxe siècle.

SAINT-SYMPHORIEN :

Dans le cadre des Journées du Patrimoine, la Mairie de Saint-Symphorien, le Cercle Ouvrier et le collège François Mauriac, entourés d’un groupe de bénévoles, se sont associés pour vous proposer une évocation du patrimoine paroupian.
Les samedi 19 et dimanche 20 septembre, rendez-vous dans quatre lieux d’exposition, pour découvrir ce patrimoine passé, mais aussi sa vision artistique et contemporaine.

Vernissage, samedi 19 septembre, 17h à la Salle des Fêtes

À la Mairie : « Écritures de lumières » du plasticien Sébastien Vonier et des élèves de la classe de 4ème 2014/2015 d’Anne-Sophie Geoffre-Rouland et d’Agnès Philippeau.
« La Fraternelle : la musique à Saint-Symphorien » un exemple de la culture musicale au village depuis le début du XXème siècle.

Au Cercle Ouvrier : « Sculpture sonore de mots » d’Eddie Ladoire, Travail autour de la sculpture de Florian Balze à l’entrée du collège avec les élèves de la classe de 4ème 2014/2015 d’Anne-Sophie Geoffre-Rouland.
« Le gemmage : hier et aujourd’hui » présentation de la technique du gemmage, de l’industrie de transformation de la gemme et des produits dérivés.

Salle de conférence : « L’épistolaire » de Sophie Pawlak : lieux et histoires au village avec les élèves de 4ème 2013/2014 des professeurs d’arts plastiques et de lettres.
« Arts décoratifs et vêtements au début du XXème siècle » une exposition sur les arts ménagers, les vêtements et la vie quotidienne.

À la Salle des Fêtes : « Les Ateliers ferroviaires »  Restitution en images et réflexions du travail sur le site des ateliers ferroviaires des élèves de 5ème 2014/2015 de leurs professeurs de lettres et d’arts plastiques avec le photographe Loïc Le Loët
« Les chemins de fer à Saint Symphorien » : l’exposition historique de la ligne de chemin de fer et de son impact économique et social sur le village.

Crobards relatifs à des articles publiés dans Sud-Ouest Dimanche du 13 septembre et mis en ligne hier sur FB…

Communiqué du Courant alternatif :

• Pendant que les socialistes européens tentent d'imposer la paix à Zimmerwald, René retourne au front, sa permission terminée.
  

  Armand continue ses allées et venues entre Marmande et Salles, entre les foins et la caserne…

  Leurs lettres sont ICI.
  
  Et dans notre revue de presse, le journal l'Humanité se penche sur le travail des femmes…
  

Communiqué :

• Accueil des réfugiés en Val de l'Eyre
  
  Le projet est de
  - rassembler des énergies chez nous, dans nos communes du Val de l'Eyre, pour un accueil de qualité, en se servant des compétences et disponibilités de chacun.
  - rassembler largement, des gens de tous bords adhérant à un objectif commun
  - recenser les possibilités d'hébergement dans les collectivités (Graoux?), chez des particuliers sur la base du volontariat, en privilégiant le logement autonome car l'hébergement à domicile doit être provisoire. Un logement social libre? Une location abordable ? il nous semble important que les personnes déracinées aient un semblant de "chez soi", autonomes où la cellule familiale peut se retrouver. L'accueil doit être un tremplin pour se reconstruire en douceur...
  - recenser qui peut aider à enseigner à parler français? (écrire?) qui est intéressé d'apprendre la langue du réfugié ? qui peut accompagner une famille pour ses papiers, pour faire les courses ? qui peut aider à équiper un logement (avec Repeyre?), à fournir un vélo ? à prêter un coin de jardin, de potager ? qui peut aider à chercher du travail, un emploi? à la hauteur de ses moyens, de son temps…
  - pousser ou accompagner nos décideurs, mairie, préfecture, grandes sociétés commerciales,.. peser dans les décisions.
  - proposer le centre social comme lieu de rencontres ou ateliers, solliciter les associations culturelles, celles solidaires
  - être une force d'expression citoyenne locale, laïque, humaniste, indépendante, citoyenne du monde, qui puisse porter sa parole sans complexe lorsque nécessaire.
  - se rattacher à une structure compétente existante comme France Terre d'asile, Welcome-réfugiés, le Singa, le HCR (haut commissariat aux réfugiés des nations unies), les Centres d'accueil des demandeurs d'asile (CAD de Bordeaux), le Secours populaire,.. Ces structures nous aideront pour tout le savoir-faire nécessaire.
  - se tenir prêt à recevoir une personne ou une famille ayant le statut de réfugié dès qu'un organisme (association précitée ? préfecture? mairie ?) nous sollicitera
  - s'inscrire sur la durée car ce flux de personnes en exil arrivant en Europe va peut-être durer longtemps, certains observateurs parlent d'une décennie.
  - continuer à se former, rencontrer des gens déjà engagés dans l'humanitaire et des professionnels.
  - voir les expériences proches, comme à Orthez où un groupe travaille depuis un an déjà à l'accueil de  2  familles irakiennes. La première est arrivée mercredi 9 septembre.  C'est une association qui a lancé le projet. Ensuite plusieurs personnes se sont greffées au projet. Le maire a fait retaper 2 anciens logements de fonction dans une école. Ils ont été meublés sommairement mais grâce aux dons, etc etc...
  - être en mesure de répondre à certaines questions qu'on entend souvent comme :  « cet accueil en Europe ne va-t-il pas inciter des millions de réfugiés des camps du Moyen-Orient à tenter leur chance à leur tour ? »
  - réveiller certaines consciences un peu endormies, à commencer par les nôtres peut-être !
  
  Nous proposons de nous retrouver le LUNDI 21 SEPTEMBRE de 18h à 20h à la SALLE DE RÉUNION de MIOS, située derrière la mairie de MIOS, (c'est la salle avec une rampe handicapée et plusieurs baies vitrées, parking derrière la mairie) afin de contribuer à la construction d'une association indépendante, à la dénomination indiquant clairement son objectif d'accueil des réfugiés en Val de l'Eyre, ne prêtant pas à confusion. Pourquoi à Mios ? Parce que le maire de cette commune que nous avons contacté pour avoir une salle de réunion approuve notre initiative. Mais nous pourrons ensuite varier le lieu de réunion, changer de commune.
  - un premier recensement des ressources sera établi ce jour-là et des responsabilités seront définies.
  - la structure porteuse nous semble en effet en toute logique devoir être celle d'une association locale = une force de représentation, une trésorerie transparente, ouverture aux subventions, défense juridique, reconnaissance du public et des décideurs, fonctionnement démocratique, convivialité.
  - l'association serait du type loi 1901 sans but lucratif. Elle peut être collégiale, ainsi que cela se pratique de plus en plus, où chaque administrateur ou adhérent désigné a une tâche définie : secrétaire et adjoint, trésorier et adjoint, personnes habilitées à accueillir, à représenter l'association, chargées liaison organisme national, mairies, communication, animation, matériel (nombreuses personnes), juridique, etc.
  - une coordination chaque mois pour commencer, par exemple chaque premier mercredi du mois, de 18h à 20h, dans une des communes concernées à tour de rôle (Mios, Salles, Belin-Beliet, etc..) dans une salle municipale.
  
  Claudie Saint-Sévère, Philippe Mora, Gérard Rodriguez, Anne Segalen, Yann le Botlan
  

  

… publiées sur Facebook le 11 septembre 2015 :

Message de l'AMAP Jardins de Sillac :

• Nous sommes quelques uns, voire plusieurs, autour de Salles, Bisca, ... à vouloir proposer notre chambre d'amis, la caravane du jardin ou le salon du grenier à des demandeurs d'asiles, qui arrivent massivement ces jours ci en Europe et en France. Les centres d'hébergement des villes débordent, les situations sont très précaires pour ceux qui cherchent tout simplement à vivre.
  L'hébergement pour quelques semaines, encadrés par les bénévoles de Welcome, pourraient se faire de façon "tournante" entre plusieurs foyers de la même commune. Ainsi, les personnes accueillies pourraient à la fois être correctement hébergées, découvrir un lieu, des gens, et se requinquer pour présenter leur dossier administratif à Bordeaux (où ils pourront se rendre via le covoiturage).
  Je ne sais que faire pour que stoppent les guerres et les situations de détresse extrême, mais je peux faire "L'Auvergnat" de Brassens pendant un mois de temps en temps.
  L'association Welcome a expérimenté cet accompagnement des demandeurs d'asile chez l'habitant, et prend toutes les dispositions pour que cela se passe au mieux pour l'accueillant et l'accueilli.
  J'abrège là. Vous trouverez ci-joint la brochure de Welcome, et saurez nous faire signe:
  amapsillac@gmail.com et welcome.bordeaux@gmail.com

« Après avoir traité Elise Lucet de "pauvre fille" à la carrière "pathétique", Rachida Dati file chez le médecin pour obtenir un certificat de "choc émotionnel". » (L'Obs)

(Dessin publié hier sur FB)

C'est écrit dans le journal…
(Aujourd'hui, dans Sud-Ouest)