Allez les Verts !!
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Ils avaient consulté leur boule de cristal, les amis de Sillac, lorsqu'ils ont établi leur programmation des films d'hiver ?
Jeudi 17 mars, à 20 h 30, à la salle des fêtes de Sanguinet, ils nous proposent un film bien en phase, hélas !, avec l'actualité :
« R.A.S. Nucléaire Rien à Signaler »,
de Alain De Halleux (52 minutes)
Des ouvriers du nucléaire sortent de l’ombre pour dresser un tableau inquiétant de leurs conditions de travail et de sécurité. Une enquête exemplaire.
On les appelle les « jumpers », ils sont chargés d’entrer dans le générateur de vapeur pour obturer les tuyaux qui le relient au réacteur nucléaire. Séjour maximum autorisé : de 90 à 120 secondes, sous peine de surdosage radioactif ! Ils font partie de la masse des ouvriers intérimaires et sous-payés, chargés de maintenance dans les centrales nucléaires (décontamineurs, mécaniciens, contrôleurs…). Des travailleurs de l’ombre qui, avec ce film, sortent pour la première fois du silence pour dresser un tableau inquiétant d’un des fleurons de l’industrie européenne. Depuis la libéralisation des marchés et la privatisation des groupes énergétiques, les conditions de travail semblent en effet se dégrader, au mépris de la santé des ouvriers et de la sécurité. Au nom de la rentabilité, EDF/GDF-Suez, Areva et les autres recourent de plus en plus à la sous-traitance, rognent sur les effectifs et la maintenance, font pression sur les employés…
Malgré les efforts déployés pour alerter l’opinion (souvent sanctionnés par des licenciements), les autorités font la sourde oreille. Un malaise que dénoncent des ouvriers principalement belges et français, éclairé par des experts-chercheurs, une sociologue et un ancien président d’EDF, Marcel Boiteux… « Du risque 0, nous sommes passés au risque calculé », affirme un employé. Les « petits » incidents se sont multipliés, avec une centaine d’alertes de niveau 1 chaque année : en 2006, après un court-circuit, une centrale suédoise frôle la catastrophe à 7 minutes près ; en 2008, une fuite d’uranium contamine cent ouvriers à Tricastin. Contrôleurs priés d’ignorer les dysfonctionnements, employés cachant les incidents par peur des sanctions, grands groupes déresponsabilisés par l’externalisation des tâches : ce constat édifiant montre combien la sécurité collective est en jeu.
Le document ci-contre a été distribué dans un certain nombre de boite-à-lettres de Belin-Béliet.
À première vue, il s'agit d'un appel à regarder le reportage Water makes Money, programmé sur ARTE le 22 mars. Mais il est précisé que cela concerne aussi notre commune : « Pourquoi payons-nous l'eau plus cher que d'autres ?…». Des informations sont proposées sur un site web : http://www.eau-du-robinet.fr/ (lien direct ICI).
Cette initiative est l'œuvre d'un particulier dont la mère réside à Belin-Béliet et qui s'indigne du prix prohibitif de l'eau dans la commune.
Il serait bon, à mon avis, que cette démarche — que je trouve personnellement pertinente et courageuse — amorce une prise de conscience collective…
La question de la distribution de l'eau à Belin-Béliet et de sa gestion a déjà été abordée dans la pèriode récente :
Mais, chez nous, la question de l'eau n'a jamais fait l'objet d'un débat citoyen. Il serait grand temps que les bélinétois s'y intéressent… Le site http://www.eau-du-robinet.fr/ peut certainement y contribuer…
Par ailleurs, n'hésitez pas à vous exprimer dans la rubrique "commentaires" (ci-dessous)…
Vous avez certainement reçu ce tract électoral de Mme Lemonnier :
(Ah oui, je m'aperçois qu'il n'y a pas de virgule entre "Gironde" et la suite,
ce qui change un peu le sens de la formule…)
Une question se pose : il n'est nullement question, dans ce document, d'appartenance politique. Madame Lemonnier indique seulement (en toute simplicité…), qu'il est indispensable « que le canton soit représenté par un conseiller général impartial »… Bien, regardons le dictionnaire… impartial : qui ne favorise pas un parti plutôt qu'un autre.
Or, en novembre dernier, elle faisait part de son adhésion à l'UMP (voir ci-contre).
Alors que s'est-il passé ? Ne me dites pas qu'elle s'est fait exclure du parti présidentiel !?…
Ah, on me signale dans l'oreillette qu'il doit s'agir d'une fine manœuvre statégique… Ouf ! je suis rassuré…
Communiqué de La Confrérie du Gland et de la Cie l'Aurore :
Samedi 5 mars, à 20 h, à la Halte latine (Belin-Béliet)
nous vous proposons de venir manger le dessert avec nous et de découvrir Frédéric VERN dans
ROUGE CŒUR,
texte de Patrick GRATIEN MARIN, mise en scène d'Aurore LERICHE
Jack, infirmier naïf, pète les plombs. Un coup de foudre étrange pour Dolly, D2. Mais la Belle n’est pas tout à fait humaine …
Héros, malgré lui, d’une vaste machination d’Etat, il nous raconte cette aventure où il a perdu son job, son cœur et sa raison …
Mais « c’est rien, c’est la vie qui passe ».
Entrée : 10 euros, dessert compris