Complément au message précédent :

Pour toute souscription (par l'intermédiaire de ce blog) au livre À l'ombre des pinèdes, il sera offert cette étiquette collector :

Pour cinq exemplaires, il y aura le camembert avec !

L'association Courant alternatif se lance dans l'édition !!
Pour être plus précis, il s'agit (pour ce coup d'essai) d'une réédition : celle d'un livre de…, de… ? de l'abbé Gaillard !
Quoi ?! Le Courant alternatif ?… qui publie un livre écrit par un curé ?!!
Cela peut sembler particulièrement improbable. C'est pourtant une réalité.
Il faut dire que  À l'ombre des pinèdes — c'est le titre de l'ouvrage en question — n'est pas, comme pourrait le laisser penser son intitulé, un recueil de poèmes ou une fiction plus ou moins moraliste. Il s'agit, comme il est indiqué par l'auteur en sous-titre, d'une étude sur l'industrie, l'agriculture et le commerce dans le Belinois…
Cet ouvrage, édité en 1916, en plein milieu de la grande guerre, n'avait fait l'objet que d'un tirage assez limité. C'est devenu un objet rare, difficilement consultable car il ne figure pas, le plus souvent, dans le fond des bibliothèque publiques.
Sa réédition, entreprise par le Courant alternatif, est donc une excellente nouvelle car il s'agit d'un document exceptionnel, œuvre d'un historien précis, scrupuleux et bien documenté. Il constitue une base de connaissances très complète sur la vie au quotidien des habitants de notre contrée (le Sud-Gironde) au cours, principalement, du XIXe siècle.   

Un cadeau à offrir (à s'offrir) pour les fêtes de fin d'année !

Une soirée de lancement est programmée le 11 décembre, à 20 h 30, à la salle des fêtes de Béliet, au cours de laquelle Monsieur Jean-Pierre Lescaret, rédacteur de la préface de cette nouvelle édition, donnera une conférence intitulée : Promenade dans le Belinois avec l'abbé Gaillard. 
L'association a lancé une souscription qui permet d'acquérir ce livre au tarif préférentiel de 12 euros (au lieu de 15). Vous pouvez télécharger un bon de souscription en cliquant sur ce lien : Souscription.

Ci-dessous, la seule photo connue de l'auteur
(Il pose en compagnie de sa maman. Leur dialogue n'est pas attesté…).

Nos amis de la troupe Traces Théâtre Enjeux proposent, demain soir (24 octobre) à 20 h 30, à la salle des fëtes de Salles, une adaptation des Diablogues de Roland Dubillard :

« Rien de plus ne vous sera conté que les petites absurdités de la vie, les tracasseries futiles du quotidien qui se disent avec un décalage loufoque qui désarçonne.

Entrer dans cette langue c'est comme partir en randonnée sans trop savoir si, à la fin, nous arriverons les deux pieds sur terre...

De ces Diablogues écrits pour deux voix masculines, nous avons construit un choeur de 14 voix d'hommes et de femmes. Ce défi pourrait sembler osé, mais la mise en scène n'est-elle pas une autre écriture des mots pour la scène?

On pourrait dire que Dubillard est au théâtre ce que Gotlib est à la bande dessinée, un bric à brac de situations cocasses et inattendues.

Parler des heures pour ne rien dire, se faire des montagnes d'un petit rien, avancer sur le chemin sans quête du Graal... Non, nos randonneurs ne referont pas le monde, ils n'avanceront pas de grandes théories... Simplement, ils poseront des mots, des phrases parfois sans queue ni tête, dans une langue à découvrir, une langue vivante qui prend tout son sens lorsqu'elle se dit et se prononce à haute voix, une langue qui s'écoute pour s'entendre.

Une invitation au voyage à la Dubillard que Baudelaire aurait sûrement appréciée... Venez nombreux vous délecter de ces petites facéties !  »

Dounia Bouhajeb

Sud-Ouest du 8 octobre :

Non, elle n'est pas manchote, la fille de l'unijambiste ! La preuve, elle fait plein de patchworks...

Ceci est un "spécial copinage" destiné, en premier lieu, aux amis qui habitent à Bordeaux ou dans ses environs.

Je vous invite cordialement (mais fermement !) à aller voir le spectacle proposé par Violaine Barret, ce vendredi 2 octobre, à 21 h., au Centre culturel Palmer de Cenon :

SECRETS DE CHIFFONS
ou La fille de l'unijambiste

« Une patchorkeuse-bonimenteuse dévoile des secrets cousus mains dont vous n'avez pas idée ! De la guerre d'Espagne à sa propre vie, un univers sensible et drôle où l'Histoire (petite et grande) est intimement mêlée aux tissus… »

Plus de détails ICI.

(Si vous habitez les Landes ou le sud-Gironde, vous pourrez voir ce spectacle à Brocas, le 17 octobre.)

Demain, concert de Béa, à Salles…

Ah bon ?… C'est pas sa mère ?!… Heu… Je veux dire, c'est pas sa fille, Béa, à Mama Béa ?

Samedi 22 août : spectacle sous les étoiles au Moulin de Dubern, à Salles…
L'association Attention Chantier Vocal se tourne vers la Galice et le Portugal pour un nouveau parcours artistique avec Jean-Marie Marchado, Stracho Temelkovski, Antonio Placer, Michel Macias, les Manufactures Verbales, Alen et bien d'autres… (Détails ici)

Ce soir, dans le cadre de la 8ème TransverSalles, nos amis du quartier de Lanot (LANOTenMusic) proposent un spectacle "musicothéâtralohumoristique" à deux :

Les voisins de piano (pianistes : Alain BARRABES et Fred LASNIER)

« Quand deux musiciens du "Jazz Chamber Orchestra" se provoquent en duel, ils choisissent leurs armes : un piano !
Deux pianos sur scène, délimitant chacun deux appartements, deux mondes. Nos deux compères se débattent, se croisent, s'évitent, s'aiment, s'insupportent. Une vie de voisinage somme toute bien courante, mais avec deux pianos en guise de cloison.
Qui en sortira vainqueur ? Ils sont fous ces voisins ! »

Autres animations des Transversalles :

Samedi : cliquer ici - Dimanche : cliquer ici

Après ses succès en Gironde, Michel Macias, "l'homme qui fait danser les arbres", poursuit sa triomphale tournée dans les Landes...
Il y a des cessions de rattrapage pour ceux qui ont loupé la première série de petits bals :
à Sore le 5 août, à Belhade le 6, à Pissos le 7 et à Marquèze le 8 !
On écoute et on danse à partir de 21 h 30, c'est gratuit !… Et on peut, auparavant, s'aiguiser les jambes en faisant un parcours à vélo !
Programme et renseignements : cliquer ici.

Dans Sud-Ouest d'aujourd'hui, un bel article (une page) sur les petits bals que propose Michel Macias et son quartet :