Armand et Louise (N° 101)
« Le bombardement ne cesse pas, c'est très dur ! »
Armand, redevenu soldat d'active à 34 ans au 11e RI est maintenant en première ligne, sous le bombardement qui en est à son cinquième mois sur dix.
Le bilan sera de 53 millions d'obus tirés de part et d'autre, soit une moyenne de 122 à la minute, ce qui représente 5 obus pour chaque m² du secteur de Verdun !
On comprend que Louise soit inquiète!
Leurs lettres sont ICI.
Doit-on homologuer le record du lancer de grenade à 76 m, même si le geste n'est pas réglementaire ?
La question est posée dans notre revue de presse !
Et toujours nos dossiers en liaison avec cette correspondance, à lire ICI.
(Communiqué du Courant alternatif)
Armand et Louise (N° 100… déjà !)
« Ah ! Maudite guerre ! Que de larmes elle fait couler ! »
C'est ce qu'écrit Louise à Armand en lui annonçant la mort de deux camarades.
C'est la quinzième fois dans cette correspondance que l'expression
« maudite guerre » est employée !
Et il y en aura sans doute d'autres !
Armand s'approche de Verdun, mais c'est sûr, il ne sera pas volontaire!
Leurs lettres sont ICI…
On a besoin de chair fraîche pour la bataille de Verdun: la grâce présidentielle du 14 juillet renvoie au front
1722 condamnés par les conseils de guerre !
C'est dans notre revue de presse...
(Communiqué du Courant alternatif)
Armand et Louise (N° 99)
« Enfin, comme l'on dit, c'est la guerre ! »
C'est la réflexion fataliste que fait Armand dans une de ses lettres quand on lui apprend que des « petites affaires » se produisent au Barp et à Salles...
Mais quelles petites affaires ?
Lisez ICI les lettres pour le savoir !
Nous avons un peu creusé le sujet du couple dans la guerre, c'est ICI.
(Communiqué du Courant alternatif)