Voter, c'est gavé bien…

Lettre ouverte de la Jeunesse, par la Jeunesse, pour la Jeunesse…

Ce texte, publié par Médiapart, s'adresse aux jeunes qui ne savent pas trop pour qui voter… ou même s'ils vont voter !
Cette contribution fort émouvante (je trouve), dont l'auteur a 22 ans, incitera peut-être les jeunes de votre entourage à se mobiliser…

En voici l'introduction et la conclusion :

Je ne suis membre d’aucun parti, d’aucune association, je ne suis que citoyen. Mais si je m’adresse à la Jeunesse, c’est de plein droit : je la connais, je la côtoie, j’en fais partie et je l’admire.
C’est en son nom que je voudrais parler. C’est avec elle et pour elle que je veux discuter du futur que nous partagerons. Je le fais en tant que jeune citoyen français, mais je voudrais pouvoir m’exprimer, au-delà de toute barrière d’âge et de toute frontière, en citoyen du monde.

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La révolte est en marche
Mon appel est le suivant : indignons-nous, en premier lieu, et puis révoltons-nous ! Prenons pleinement conscience que la Crise n’est pas économique et financière comme on nous le répète sans cesse, mais sociale et politique.
Cultivons-nous, alertons-nous, soulevons-nous et prenons les urnes, massivement, chaque fois que l’occasion se présentera — mais n’en restons pas là ! Il nous appartient de mettre également notre énergie et notre créativité au service d’idées et de causes, de les incarner, de les porter sur le devant de la scène publique et politique, et de ne nous en défaire sous aucun prétexte.
Le vingt-et-unième siècle ne sera pas celui de la ruine ou du désastre, mais celui d’un nouveau modèle de développement social et économique, porté par une forme nouvelle de démocratie, citoyenne, souveraine et exemplaire.
Je souhaite à tous ceux qui se reconnaîtront dans mes propos qu’ils puissent faire de même : reconnaître leurs convictions, les confronter au monde et leur donner un sens. Parce que l’avenir nous appartient à tous, et qu’il appartient à chacun d’entre nous de le faire advenir, j’en appelle à la formation d’une Assemblée Constituante.
Pour toutes ces raisons, et plus encore, je voterai pour le candidat du Front de Gauche, Jean Luc Mélenchon. Pas pour un homme ni pour un parti, mais pour les idées qu’ils défendent et pour le changement de société qu’ils proposent. Pour la première fois dans ma vie d’électeur, j’irai voter avec conviction et avec enthousiasme : pour quelque chose en quoi je crois.

Le texte complet est à lire en cliquant sur ce lien : Lettre_a_la jeunesse

 

Comments

[thierry]

J'ai fais une boulette dans le message précédent , c'est pas de renault la bagnole que je parlais hein, mais de Renaud le chanteur,même si les deux consomme pareil et vieillisse aussi mal !

[THIERRY]

Moi ce qui me désole dans le texte du gars là, c'est qu'a 22 ans il écrit déjà comme un vieux. A 22 ans on écrit pas comme ça merde, ou alors il veut rentrer dans les jeunes de l'UMP ou du PS ( d'ailleurs comment peut on être jeune et UMP ou PS hum ? ). Mais mon lapin à 22 ans il faut boire des coup et/ou chopper des nanas ou des mecs, et pratiquer des choses que la morale chrétienne réprouve, oh oui oh oui !

Comme disait Renault : Si voter servait a changer quelque chose, il y a longtemps que ce serait interdit ! Les choses ne changeront qu'en descendant dans la rue, nombreuses et nombreux, et longtemps. Que moi à prés de 50 berges je vote Méluche, ça peut se comprendre ...Mais toi à 20 berges, faut descendre dans la rue et tout renverser bordel !!

Raaah il m'a énervé l'aut' là avec ses conneries, faut que je me calme avec une petite leçons sur les accents et la ponctuation...



Leçon n° 1 : L’apostrophe;



L’apostrophe vient du Grec ancien apos,qui voulait dire « devant » et de stofis qui ne voulait rien dire du tout .La première occurrence référencée date du xv siècle, époque a laquelle, les livres étant recopiés a la main et les moines copistes rémunérés au caractère, ceux-ci avaient tout intérêt à inventer des mots long .C’est ainsi que l’on commence a voir fleurir a cette époque, les premières fantaisie orthographique du type ; hypocondriaque, gastéropode, rédhibitoire, paradigme et savon de Marseille, mais ceci n’a rien a voir …Apostrophe donc est au départ un mot du langage soutenu .Plus tard mais pas avant le XVII siècle, il passera dans le langage courant, en il est vrai s’altérant quelque peu…

De nos jours, l’apostrophe sur un clavier d’ordinateur ce trouve sous le 4 de la ligne de chiffre horizontale. Les règles de ponctuation veulent qu’il (ou elle) s’utilise comme un lettre c'est-à-dire sans espace ni avant, ni après !

Non ne me remerciez pas, c’est juste pour rendre service.Et pour me calmer aussi.



Prochaine leçon …notre amie (car c’est notre amie) LA VIRGULE !!