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N'importe quoi !
14 novembre 2011

À donner : chat castré et circoncis…

Le 18 novembre prochain, le Courant Alternatif vous propose la projection du film
« le Chat du rabbin »
, long métrage d’animation de Joann Sfarr, sorti en salles en juin 2011.
Cette séance offerte est ouverte à tous, à la salle de Fêtes de Béliet à 21 heures.
Et pour un confort "comme à la maison", n’hésitez pas à apporter votre relax ou votre fauteuil préféré !
Invitez vos amis, vos voisins !

clip_image002Synopsis
Alger, années 1920. Le rabbin Sfar vit avec sa fille Zlabya, un perroquet bruyant et un chat espiègle qui dévore le perroquet et se met à parler pour ne dire que des mensonges. Le rabbin veut l'éloigner. Mais le chat, fou amoureux de sa petite maîtresse, est prêt à tout pour rester auprès d'elle... même à faire sa bar mitsva ! Le rabbin devra enseigner à son chat les rudiments de loi mosaïque ! Une lettre apprend au rabbin que pour garder son poste, il doit se soumettre à une dictée en français. Pour l'aider, son chat commet le sacrilège d'invoquer l'Eternel. Le rabbin réussit mais le chat ne parle plus. On le traite de nouveau comme un animal ordinaire. Son seul ami sera bientôt un peintre russe en quête d'une Jérusalem imaginaire où vivraient des Juifs noirs. Il parvient à convaincre le rabbin, un ancien soldat du Tsar, un chanteur et le chat de faire avec lui la route coloniale...

Source : UGC Distribution

Cine 

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Commentaires
L
OK les voyages en brouette c'est cool. Mais je viens pour autre chose: le chat n'a pas fait sa bar mitzva donc il n'est donc pas circoncit! >:(<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Un (Hannibal)lecteur très mécontant.
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T
Puis-je me permettre de vous poser une question cher blogueur Chapuzien, vous qui n’avez rien d’autre à foutre, que de venir ici pour lire mes conneries ? Merci je savais que je pouvais compter sur vous !<br /> Moi perso , j'aime pas les chats, car le chat est fourbe et manipulateur, il veut sans cesse que l'on s'occupe de lui, il nous déçoit tout le temps car il ne veut pas ramener le bout de bois qu'on lui lance, et quand on le fout dehors, il est capable de pleurer pendant des lustres pour qu'on daigne de nouveau cohabiter avec lui, c'est simple on dirais que les chats sont au PS...Oui bon d'accord je m'égare un peu là, mais vous l'avez compris, je n'ai me pas les chats, pis dans l'ensemble ( mais il m'arrive de faire des exceptions...)j'ai toujours préféré les plumes aux poils. D'ailleurs,savez vous ce qu’est l’uropygienne ? J’ai lu dans le dictionnaire que c’était un adjectif féminin, qui vient du Grec Oura qui veut dire queue, et de pugê qui veut dire fesse. Se dit d’une glande graisseuse qui se trouve au croupion des oiseaux, et dont la sécrétion sert à graisser les plumes.<br /> Est-il plus plaisant spectacle que celui du cygne sauvage s’escagassant le fion d’un bec fouineur sur l’étang brumeux que le soleil levant redore au clair matin ?! Croyez vous franchement que ce fringant palmipède se titille ainsi le sphincter dans l’espoir de quelques orgasme à plumes ? Ou bien il s’ébroue la houppette pour en chasser les poux d’eau qui s’accrochent à son duvet pour en sucer la moelle ? Et bien non ! Car si notre cygne ( il suffira juste d’un...non laissez tomber !) matinal se colle si joliment le nez au cul, c’est pour y ponctionner, sur le pourtour suintant de sa glande uropygienne, la grosse graisse grasse grise dont il enduira d’un bec sûr et léger son plumage éclatant que le soleil levant redore, au clair matin également. Ainsi ouin, Coincoin pourra glisser sur l’onde avec cette grâce exquise qui n’existe pour ainsi dire pas chez les tuyaux de plomb, et cela à l’abri du rhume de canard, si courant pendant le froid du même nom, et sans risque de couler. Ce qui est fort important. C’est à sa parfaite insubmersibilité que le cygne sauvage doit sa légitime arrogance ! On n’imagine pas un cygne couler, il aurait l’air con, et puis ce serait aussi grotesque qu’un pape lâchant une caisse au balcon un jour de Pâques. Que Dieu nous tripote et nous épargne semblables incongruités, Merci mon Dieu ! Caeli enarrant gloriam tuam (c’est du Latin je vous expliquerais une autre fois !)<br /> Pour en revenir au trou du cul, même si nous n'en étions pas si loin que ça, évitons la grossière erreur, courante chez les gens du peuple, qui confondent souvent l’uropygienne et la caroncule, au risque de se ridiculiser dans les soirées mondaines ou, Dieu encore merci, on ne les convie guère ! La caroncule, qu’on se le dise, est à l’autre bout de l’oiseau, puisqu’il s’agit de ce machin ridicule que le dindon se laisse pendre sous le cou pour essayer d’avoir l’air plus con que le paon. Lequel criaille. Alors que le dindon glougloute. Parfaitement le dindon glougloute ! C’est la poule qui glousse. Plus précisément, elle glousse pour appeler ses petits. Quand elle échange des idées d’ordre général avec sa camarade de poulailler, ou qu’elle est sur le point de pondre, on dit qu’elle caquette. Alors que l’oie, non. L’oie cacarde. Pas le jard. Le jard largonne. Boris Vian ajouterait que la caille carcouille, la huppe pullule et le loup glapit. C’était un homme fort cultivé, d’une prose infiniment élégante, d’un humour plus subtil, plus tendre et plus désespéré qu’une plainte vocale de Janis Joplin. Alors que, pour en finir avec la basse cour, les oiseaux porteraient plutôt l’intellect au ras de la glande uropygienne. Franchement c’est dégueulasse non ?
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