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N'importe quoi !
5 août 2009

Spécial copinage

Vendredi 7 août : soirée concert et gastronomie à Gajac (près de Bazas, une occasion de découvrir notre futur chef-lieu de circonscription !)…

Le taulier et les saltimbanques sont des amis !!affiche_concert1

Pour plus de détails, cliquer ici !










Canards

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5 août 2009

La peutanque ? Mais c'est fûûrieusement tendance !!

Journal Sud-Ouest du 4/0809_08_04/09 :






Petanque

4 août 2009

Boîte à punaises et pinces à vélo…

Après ses succès en Gironde, Michel Macias, "l'homme qui fait danser les arbres", poursuit sa triomphale tournée dans les Landes...
Il y a des cessions de rattrapage pour ceux qui ont loupé la première série de petits bals :
à Sore le 5 août, à Belhade le 6, à Pissos le 7 et à Marquèze le 8 !
On écoute et on danse à partir de 21 h 30, c'est gratuit !… Et on peut, auparavant, s'aiguiser les jambes en faisant un parcours à vélo !
Programme et renseignements : cliquer ici.

Pepe

3 août 2009

Cirque con scription

C'est un peu calme, l'actualité locale, en ce moment…
Profitons-en pour faire un peu mieux connaissance avec notre futur (en principe !) chef lieu de circonscription…

Voici donc Bazas, son bœuf, sa cathédrale, heu…, ses arcades…, sa cathédrale… son bœuf (de Bazas)…
… bref, Bazas, terre de contrastes !

Bazas

Boeuf

2 août 2009

BIB ! BIB ! BIB !… Hurrah !

Reçu ce matin, dans ma boite aux lettres, le numéro de… juillet (j'habite loin de la mairie !) du BIB, le bulletin d'informations municipales.
Il est largement consacré au "tissu économique local". Mais pas un mot sur la fermeture de l'entreprise LST et sur les 33 salarié(e)s qui se retrouvent sur le carreau. Par pudeur, sans doute ?

LST

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2 août 2009

Il y a un créneau pour le bio !…

J'ai eu envie de vous faire partager cet article publié dans la revue "potager bio" N° 33 de juin-juillet 2009.
Les noms des lieux nous inclinent à penser que l'auteur situe son histoire en Normandie… En tout cas, ce n'est pas par chez nous que ce genre de choses se produirait !

Continuez à nous prendre pour des imbéciles : On adore ça.

La fiction qui suit se déroule dans la ravissante bourgade de Riambourg-près-la-Granville. Plus précisément à la mairie de Riambourg-près-la-Granville, pendant un conseil municipal. Avant d'aller plus loin, permettez-moi de vous présenter ce charmant endroit qui dans les années 70 comptait à peine 3 000 âmes, et que sa proximité avec une grande agglomération (8 km seulement) a bouleversé. Des milliers de citadins lassés de la vie urbaine sont venus s'y installer, ont "fait construire" comme on dit. Pavillons cossus, jardinets, vacarme de tondeuses, piscines plus ou moins rigides, cabanes et jeux pour les enfants : un légitime paradis pour urbains fatigués de leur journée de travail passée à la ville. Une aubaine aussi pour un si petit village que l'exode rural menaçait. Supermarchés, services etc., il y a tout à Riambourg-près-la-Granville. Alors entre les impôts locaux de sa population passée de 3 000 à 11 000 habitants en à peine 40 ans, et les taxes diverses, c'est un budget plutôt confortable que gèrent maintenant les élus locaux. De quoi faire de bien jolis ronds points, un stade, une piscine, un gymnase, un dojo et même une médiathèque ! Bref, du sérieux quoi. Mais revenons à notre conseil municipal qui s'achève.
Le maire :
« — Et bien mesdames et messieurs les conseillers nous sommes bien d'accord pour le nouveau PLU : nous rachetons la friche du Petit Père Machin, on abat son vieux hangar dégoûtant et on triple la zone pavillonnaire ! Ça nous fait des familles à venir, des gamins pour les écoles et les clubs d'activité, sans compter le travail pour les artisans du village.
Un conseiller interroge :
— Vous êtes sûr qu'il sera d'accord Pépé Machin Chose pour nous vendre les terres et son vieux fourbi ? Parce que quand même, 3 ha avec un bâtiment agricole même vieux, et je crois un puits, ce n'est pas sûr qu'il lâche ça comme ça.
— Il me semble en plus, surenchérit un autre conseiller, qu'il le gardait pour son neveu ou quelqu'un de sa famille qui aurait un projet de ces nouveau trucs dont on entend beaucoup parler. Vous savez, souvent ce sont des agriculteurs bio qui font des paniers de légumes de saison que des gens réservent à l'avance. Comment ça s'appelle déjà ?
— Une AMAP. J'en ai aussi entendu parler confirme un troisième.
— Tout ceci est passionnant reprend le maire, mais revenons à des choses sérieuses. Ce n'est pas de la venue improbable d'un paysan nostalgique des années 70 dont il s'agit, mais d'un énorme lot susceptible d'être une arrivée massive de nouveaux habitants. En résumé : un surcroît d'activités et une bouffée d'oxygène en terme d'impôts locaux. Je propose donc que la mairie use de son droit de préemption et l'affaire sera close. Ai-je votre accord ?
À part quelques abstentions, l'idée est retenue : la mairie préempte, et Papi Trucmuche en échange de son bazar et des ronces qui poussent dessus, il touche un pactole dont il devra déjà s'estimer heureux.
— Bien. Le maire se racle la gorge, visiblement ému. Il reprend :
— Avant de clore cette séance, il nous reste un dernier point à examiner, que pour des raisons d'attachement personnel. je tiens à aborder solennellement avec vous. J'insiste d'ailleurs pour qu'il apparaisse sur le compte rendu de ce conseil municipal : l'heure est grave vous le savez, l'environnement menacé, il est plus que temps d'agir. Ainsi, je vous pose la question et vous me répondrez en votre âme et conscience : Que faisons-nous pour le développement du rab ? Pardon, durable. Que faisons-nous pour le développement du-ra-ble ? [ il corrige en insistant bien sur chaque syllabe ].
Silence dans les rangs. Chacun réfléchit. C'est que le développement durable c'est très bien, ça fait plaisir aux électeurs, mais bon, il faut regarder les choses en face. D'une part ça coûte très cher et au final dans le meilleur des cas on arrive surtout à se fâcher avec une moitié de la population et à insatisfaire l'autre. Tenez, prenez par exemple des éoliennes... Tu parles d'un guêpier.
En attendant, dans la belle salle du conseil de la mairie, ce sont les mouches qu'on entend voler.
C'est finalement l'adjoint aux commerces qui sauve la mise :
— Et si on organisait un marché bio ?
Génial ! Magnifique ! On applaudit à tout rompre.
— L'avantage, continue l'adjoint, c'est que non seulement ça permet de donner une belle image de notre commune, mais en plus ça nous coûte rien, les droits d'emplacement couvriront les frais.
Les félicitations fusent de toutes parts. Dans son enthousiasme, l'adjoint propose même de s' occuper personnellement de trouver les producteurs. Dès le lendemain il commence sa prospection. Une opération facilitée par le peu de producteurs bio encore présents dans la région, tant l'accès au foncier agricole est compliqué et hors de prix.
— Allo Monsieur Mathias, Jean~Claude Palluchau, maire adjoint de Riambourg-près-la-Granville. Dans notre petite commune, nous sommes très sensibles à l'environnement et aux producteurs comme vous qui ne traitez pas. C'est très important ça, l'environnement et le développement durable, je ne vous l'apprends pas. À notre tour nous avons décidé de vous aider à développer votre activité, à vous faire connaître. Nous organisons donc dès ce printemps un marché bio sur notre commune, et nous vous proposons de vous réserver une place. Les frais de participation sont de 50 euros seulement. Êtes-vous intéressé 7
— … ?

Allez, continuez à nous prendre pour des imbéciles on adore ça.

Xavier Mathias, Maraîcher bio

Bio

1 août 2009

Asile politique

09_07_31c

Journal Sud-Ouest du 31 juillet 09_07_31d





Déjà, il y a deux ans, j'avais envisagé cette hypothèse...
Quel flair, le CHAPU !…

(Dessin publié le 25 juin 2007 sur le site du Courant alternatif)

25_06_07

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